Boxon Records

BOXONCD001 – WAT – WONDER (ALBUM)

boxonrec 15 novembre 2010 Releases
boxonCD001

TRACKLIST

1. Digital Hero
2. Now:System!
3. Kill Kill
4. Odyssée
5. Last Chance
6. Breathe With Me
7. Hot Dog Story
8. Millenium
9. Circus Circus
10. Missile
11. Take Control
12. Wonder

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Juin 2007. Quelque part entre Lyon et Paris, Nico et Ben (2 ex Casino Inc), rejoins par Jas (ex Rien Du Tout) donnent naissance aux prémices du son WAT : une disco music groovy, catchy, punchy. C’est en utilisant les guitares comme des claviers et vice-versa que leur son se salit. WAT ce sont des ondes hurlantes, de la sueur digitale, du plastique musical. Un projet hors norme né d’un amour de la colère. Ou peut-être même l’inverse.

Après la sortie du « Don’t Panic Remixes » Ep (Ref. Boxon008), WAT effectue son retour fin 2009 avec la sortie de son nouvel Ep « UU80 » sur le label parisien Absolut Freak. On y retrouve deux nouveaux titres : « But Myself » et « Autoradio », auquels viennent s’ajouter un cover par les intenables We Are Enfant Terrible, un Auto Remix feat. Cs Rucker, rappeur américain, et enfin un remix du jeune et talentueux Aylak. WAT fête également son retour en live avec une toute nouvelle configuration (synthé, guitare , batterie, chant) déjà testée sur plusieurs dates et qui apporte au live la puissance rock propre à leurs morceaux. Guitare aiguisée, rythmes destructurés, produit sans psychotrope ajouté, WAT est un sourire éclatant assorti d’une grosse baigne.

Rejoins-nous et laisse-toi faire ! Le premier album de WAT sort sur Boxon Records le 15 novembre 2010. Le single « Kill Kill » issu de cet opus fait l’objet d’une sortie vinyle (le 30 Mai 2011) et digitale (le 6 Juin 2011), sous la forme d’un Ep de 4 remixes 100 % Boxon.
WAT est composé de : Ben & Jas.

Soutien

Trax Magazine – Novembre 2010

Ça monte d’abord doucement : on sent la tension qui s’accumule. La guitare qui se chauffe, qui n’a envie que de se laisser aller. Un passage mélodique à la Gérard Blanc et, enfin, le beat qui démarre en compagnie d’une voix détachée et désabusée. Le track Digital Hero marque le début de Wonder, l’album de WAT (Pour We Are Terrorists) qui sortira ce 15 novembre chez les bordelais de Boxon Records. Conforté par l’écoute du deuxième morceau Now:System!, on pense alors que c’est parti pour un disque semblable à ce qu’aurait fait Craig Nicholls de The Vines s’il avait choisi d’arrêter de se la jouer hippie freak pour se mettre à l’électro-pop qui en a. Mais on se gourre admirablement, la suite partant dans tous les sens avec du hip-hop funky fresh (Kill Kill), de l’électro-pop ensoleillée (Hot Dog Story)… Car WAT est une formation électro-rock épicurienne qui, au fil de ses ses douze titres, a réussi à faire cohabiter fantaisies et références subliminales. Du synthé yuppie au Scarface de Moroder, des basses slappées aux faux-airs new wave, du George Michael en mode briseur de cœurs aux loops italo-discoïdes : ces plaisirs coupables assumés sont utilisés à bon escient et dynamisent sans conteste Wonder. Alors que les groupes électro-rock français aux influences 80’s semblent n’avoir jamais été si nombreux à apparaître dans les bacs, WAT peut se démarquer grâce à un style qui plaira aux fluo kids, aux mèches à jeans slim, aux popeux et, pourquoi pas, à Caroline Loeb. Une épopée sympa et enjouée. Arnaud Rollet

KR HOME STUDIO – Novembre 2010
Au carrefour des influences, l’univers musical du groupe Wat flirte avec tous les ingrédients disponibles dans les musiques synthétiques et amplifiées. Surfant sur la vague de l’électro-rock, les quatres Français nous offrent pêle-mêle, dans un grand chaudron, de l’électro-pop puissamment efficace (last chance), du hip-hop survitaminé (Kill Kill), du funk syntéhtique (Odyssée)… Et toujours sans consessions, sur disque comme sur scène ! T.D

Longueur d’ondes Nº56

C’est sur le fameux label électro bordelais que sort cet album plutôt inattendu. Ceux qui suivaient de près le quatuor parisien/lyonnais depuis cinq maxis ravageurs de dancefloor risquent d’être surpris puisque les terroristes changent un peu de registre en insufflant rock et hi hop dans leurs armes de destruction massive. A la manière des Black Kids et de leur projet Blackroc, le groupe ne s’impose plus de frontières et tape là où c’est bon. Rappelant Midnight Juggernauts sur Odyssée et invitant le MC CS Rucker sur Kill Kill, cet album, à l’image de sa pochette, est définitivement un patchwork musical convaincant. De Digital hero qui ne tarde pas à rentrer dans le vif du sujet jusqu’à Take control qui gagne allègrement la palme du morceau le mieux troussé, Wonder est un disque qui se danse jusqu’à plus soif et devrait logiquement plaire au plus grand nombre. Julien Deverre

NIGHTLIFE – Novembre/Décembre 2010

On caresse ici ce que Wat a toujours cultivé : un mélange d’influences très diverses passées par une centrifugeuse électro-rock. Un enivrant voyage entre new-wave, rock et hip-hop. Un opus qui réchauffre autant qu’il glace mais qui nous a touché au cœur… Hypnotique et sans complexe !

TRIBUMOVE – Novembre 2010

Né dans la déferlante des auto-producteurs des années 2000, Wat s’est d’abord fait connaître comme un destructeur de dancefloor, utilisant les claviers comme des guitares et livrant plusieurs maxi sans consession. Leur premier album très éclectique est dans la même lignée : un enivrant voyage électro new-wave, aux accents rock et hip-hop. En ouverture Digital hero nous rappelle les grands thèmes épiques qui ont fait le succès de Queen. Now : system ! Et le premier extrait Kill Kill prouve qu’il est possible de concilier sans complexe son pop-rock et flow hip-hop. Odyssée est une instru électro-funk pour les dancefloors. Last chance est plus dark gothique, à la Depeche Mode. Les titres s’enchaînent et on va de surprise en suprise dans ce fabuleux voyage musical électro-fantasmagorique, rythmé au son de la voix new-wave de Guillaume Monet. Le final hypnotique vous donnera envie d’en savoir plus sur ce groupe.

A NOUS PARIS – Novembre 2010 #499

Un set électro-rock aux accents hip-hop et aux mélodies percutantes. Claviers, guitare, batterie, chant, WAT insuffle une puissance rock à son univers électronique. Avec les live de Daroc et Dilemn, et le Dj set de Costello.

OPENMAG – Octobre 2010

Mariant le flow du hip-hop à l’énergie du rock, les WAT (ex-We Are Terrorists) restent surtout un groupe de scène. Leur musique rappelle le projet Blackroc ou encore Mongrel. Un groupe à voir absolument sur scène !

SORTIR LORIENT – Novembre 2010 nº247

Né de déferlante des auto-producteurs des années 2000, WAT s’est d’abord fait connaître comme destructeur de dancefloor, utilisant les clavier comme des guitares. Tout au long de ses 12 titres, il caresse de près ce que WAT a toujours cultivé : un mélange d’influences très diverses passées dans une centrifugeuse électro-rock.

LA SAVOIE – Octobre 2010

La combinaison du rock et de l’électro nourrit depuis le début des années 80 de forts nombreux projets. Avec de très bons disques à la clé, mais aussi d’exécrables. Avec son set multivitaminé, Wat peut prétendre sans rougir à la première catégorie. Sélectionné par le réseau Printemps de Bourges pour les découvertes Ile-de-France, il fusionne rock, électro et hip-hop en y injectant une telle dose d’énergie que l’on ressort l’album ébouriffé, épuisé à force d’avoir trop remué les jambes et secoué les neurones. Wonder, un album puissant et dansant qui permet d’expulser les tensions et d’éloigner toutes les ondes négatives.

WILDMUSIC.COM – Novembre 2010

Disponible depuis aujourd’hui sur toutes les plateformes digitales, Wonder le premier album de WAT (We Are Terrorist) fait partie de ces sorties qui risquent de faire beaucoup de bruit. Pourquoi me direz vous ? Tout simplement parce que ces poulains de Boxon Records ont lâché une bombe qui ne laissera personne insenble. Mélangeant habilement, l’électro, le rock, le funk et même la new-wave, les 4 terroristes ont lâché un album très éclectique sans pour autant perdre une cohérence. Sur les 12 titres qui composent Wonder, on retiendra surtout la bombe funky Kill Kill qui devrait enflammer les dancefloors pendant plusieurs mois ! Car ce qu’il faut savoir c’est qu WAT fait partie de ces rares artistes capables de balancer des tubes à la demande en se renouvelant continuellement. En ne s’imposant aucune limite ces producteurs réussissent un joli tour de force, celui de nous faire danser pendant 52 minutes sans se forcer ! Si tu n’as pas encore testé, on t’offre une séance de 3 minutes avec le track Kill Kill… Enjoy !