Boxon Records

BOXONCD002 – DILEMN – BETTER WORLDS (ALBUM)

boxonrec 14 mars 2011 Releases
boxonCD002

TRACKLIST

1. No More
2. Clapping
3. Better World (feat. Youthstar)
4. Like This
5. Move Yo Feet (feat. Blake & Wonderkat)
6. Don’t Break It
7. I Am Cold
8. Catch The Looks remix (feat. Smurfie Syco – Radio Edit)
9. Modern Slave
10. Analog Power
11. Time 4 Me (feat. Miss Trouble)
12. Mechanical Pleasure (feat. Kloé)
13. Plugged

L’album Better Worlds #BoxonCD002 est disponible sur :
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Les incontournables producteurs de l’Electro comme 2 Many Dj’s, Boys Noize, Erol Alkan, The Bloody Beetroots, ou encore ceux du breakbeat anglais, l’ont déjà playlisté de nombreuses fois… DILEMN a en effet sorti plus d’une vingtaine de morceaux originaux ou remixes sur des labels français et internationaux qui l’ont amené à jouer aux quatre coins du monde (Europe, Canada, Australie, Usa).

Son premier album, « Better Worlds », signé sur Boxon Records, avec des featuring vocaux de Blake (Puppetmastaz), Mc Youthstar, Miss Trouble ou bien encore Smurfie Syco, dernier poulain du label de Dizzee Rascal, sortira mars 2011 !
Le Ep « Extented worlds » (incluant des versions étendues spéciales pour les DJs) sort le 7 mars !

(« Better Worlds » Album cover. Design : Roboto)
Le voyage interstellaire commence au fin fond du cosmos avec « No More » que l’on sent s’approcher et se définir de plus en plus, par une introduction downtempo orchestrale, lourde et quelque peu mystérieuse.

Au détour d’une planète, on découvre « Clapping », beaucoup plus léger et rebondissant, barde de sonorités funk et entremêlant aussi bien des synthés 70’s que des reefs de talkbox (cousin du vocoder).

L’influence du funk se retrouve également dans « Better World », l’un des morceaux phares de l’album, d’une manière tout à fait différente, et porté cette fois-ci par le flow incisif et précis de Youthstar.
Ce premier featuring annonce la couleur, ou plutôt une partie de la palette de couleurs qui va se dégager tout au long de l’écoute : no limits !

Et pourquoi ne pas partir sur la planète fusion avec « Move Yo Feet » accompagné cette fois-ci de Blake, l’un des piliers de Puppetmastaz, et de Wonderkat qui apporte sa touche féminine a l’édifice. Le tout porté par des guitares tonitruantes et des mélodies accrocheuses qui nous rappellent qu’il y a toujours un peu de rage contre les machines en chacun de nous…
Nous retrouvons aussi dans cet album Miss Trouble, dans « Time 4 Me », morceau mélodico-electro-accoustique dans un style plus UK, ainsi que Smurfie Syco qui reprend une partie des rênes pour le remix de Dyebox « Catch The Looks », tuerie vocale de par sa variété de chants et son énergie, qui ne manquerons pas de s’imprimer dans votre sub-conscient.
Dans un registre plus électro-destructeur de dancefloors, on apprécie aussi bien « Like This », un patchwork de samples et de lignes de basses supra efficace, que « Don’t Break It » et son intro angoissante, tel le trou noir se rapprochant du vaisseau.
Le rock percutant de « Analog Power » ne vous laisse pas indifférent tout comme le groove mélancolique de « I Am Cold ».
Avant de pouvoir revenir sur Terre, il vous faut passer la ceinture d’astéroïdes matérialisée par « Mechanical Pleasure » et les scratches ravageurs de Kloé, pour atterrir (mais pas en douceur) avec « Plugged », plus Dubstep torturé, parfois planant et qui vous force à rester branchés jusqu’au prochain album.

Extinction des réacteurs, désarmement des toboggans… Cette exploration se termine et l’imaginaire de chacun peut enfin revenir à la normale, après avoir traversé les multiples influences de ces différents mondes.

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Soutien

Trax Magazine – Avril 2011 (par Smaël Bouaici)

Les frontières entre hip hop et house n’ont jamais été aussi perméables et ces quatre artistes le diluent toujours plus. French Fires, Big Dope P et Dilemn ont pour l’instant obtenu leur crédibilité à l’étranger où le mélange est moins tabou qu’en France. Ancien pianiste de musique, le toulousain Dilemn s’est jeté à corps perdu dans l’électro. Sans regrets, ni pour lui, ni pour nous.

Harmonieux. C’est ainsi qu’on peut le mieux définir le son du Toulousain Dilemn, qui après une floppée de remixes tous azimuts, sort son premier album sur le label bordelais, Boxon Recourds. Son talent pour mixer des mélodies avec les beats tapageurs du breakbeat, il le doit à son passé de pianiste classique. Des années à interpréter qui lui ont permis de se construire une oreille quasi absolue. « Le fait d’entendre toutes les notes, m’a beaucoup servi pour l’harmonie d’ensemble de chaque morceauʺ. Et à l’époque de GarageBand alors que tout le monde pense pouvoir bricoler des loops sans autre expérience musicale que le rythme des doigts sur les bancs de l’école, c’est rafraîchissant : « J’ai beaucoup moins galéré que mes potes qui commençaient dans l’électro en même temps que moi. » Mais comme nombre d’élèves des conservatoires, Dilemn s’est heurté aux murs de l’interprétation : « Le classique, c’est vrai que c’était un peu frustrant. A part quand tu fais du jazz, le principe, c’est d’être le plus juste dans l’exécution. En sortant de là, au début, j’ai dû réapprendre la musique pour pouvoir m’évader un peu plus. »

Dilemn s’est échappé dans la musique électronique, porté par les disques de Laurent Garnier et des Chemical Brothers, ces derniers constituant une influence assez évidente quand on écoute son éclectique premier album Better Words. Mais il ne faut pas y voir le signe d’un artiste qui tatonne. « Dès qu’il y a un genre qui me plaît, j’ai envie de voir ce que je peux faire dedans. Je ne prétends pas exceller dans chaque catégorie, mais ça m’interesse de changer d’univers »
Sur son disque, on démarre du breakbeat façon frères chimiques pour finir sur du dubstep. Entre-temps, il se sera frotté aux flow de différents MC, dont le junglist Youthstar, la nouvelle égérie d’Elisa Do Brasil, Miss Trouble, le Puppetmasta Blake, et surtout le protégé de Dizzee Rascal, Smurfie Syco, sur Catch The Looks, un titre à fort potentiel : « Quand je le joue en live, les gens me jettent des cannettes dessus.Ça doit vouloir dire que c’est bon signe. »

KR Home-Studio Hors-série nº1 – Mars-Avril 2011

«Plutôt producteur et compositeur, issu des méandres de l’underground, les influences de Dilemn sont aux confluences de multiples styles allant aussi bien de l’électro au hip hop, en passant par le funk syncopé et le rock métal. Originaire de Toulouse, Dilemn, de son vrai nom Gauvin Fargeot, approche aujourd’hui la trentaine. Ce qui ne l’empêche pas d’être activiste acharné sur la scène électronique internationale, ce dernier ayant déjà signé divers projets sur des labels allemands, canadien et anglais comme Boys Noize Records, Turbo Recording, Hardcore Beats, Cyberfunk Records… C’est aujourd’hui chez les français de Boxon Records que le Frenchy revient avec Better worlds. A coups de synthés bien gras, commen en témoigne le morceau Clapping ouvrant l’album, les boîtes à rythme et les basses synthés funky slappés sont entrées de plein fouet sur le dancefloor. Et le bougre a bien sû s’entourer avec quelques featurings efficaces.On retrouve ainsi sur Move you feet, un vrai titre funk-électro-fusion avec la participation de Blake de Puppetmastaz et la voix de l’allemande Wonderkat. Tandisque quelques morceaux après, la londonienne Miss Trouble s’affirme sur Time 4 me et son concitoyen MC Youthestar suqatte le micro sans conessions sur Better Worlds qui donne son nom à ce projet dansant et superbement abouti, à poser sur ses platines et à écouter…» T.D

Longueur d’ondes nº59 Avril-Juin 2011

«No more et le voyage cosmique démarre. Downtempo, orchestal, lourd ce morceau introduit l’album à venir l’abum à venir, un savant mélange de nu-french-touch et de dubstep comme disent les djeun’s. Derrière ce dilemme, on retrouve le jeune Toulousain Gauvain Fargeot déjà bien habitué aux playlists breakbeat et techno du monde entier. Petit chouchou de l’Angleterre notamment, on ne compte plus ses remix musclés. Mais de formation classique (piano), le jeune homme applique à 100% (composition, réalisation, production) une recette qui marche : mélodies endiablées, synthés en roue libre et kicks monstrueux. Comme si ça ne suffisait pas, on trouve aussi de sacrés guests comme par exemple Youthestar sur le funky Better world. Un esprit funk dont il est d’ailleurs souvent question (Clapping) quand ça ne tabasse pas purement et simplement (Like this). Un disque à écouter à fond, et un artiste à voir sur scène.» Julien Deverre

La Savoie – Vendredi 25 mars 2011

«D’apparence, c’est de l’électro boum-boum style années 80. De la bonne qui tambourine classe et fait trembler les basses. En apparence. Car plus concrètement, Dilemn n’est pas du genre à cloisonner ces machines dans une tendance rigoureusement dancefloor… avec un malin plaisir et en compagnies d’autres Djs, il pulvérise sur ses claviers la rage rock de guitares acérées, le chaloupé sensuel des rythmes funky, le groove métallique d’une new-wave synthétique… le tout saupoudré d’une quête de la mélodie qui en fait un artiste reconnu et convoité dans le monde entier. Better World, un album très dance… mais plus si affinités !»

Sortir ici (Brest et sa région) Nº87 Mai/Juin 2011

«Les incontournables producteurs de l’Electro comme 2 Many Dj’s, Boys Noize, Erol Alkan, The Bloody Beetroots, l’ont déjà playlisté de nombreuses fois… Tantôt orchestrale, funky ou rock, la musique de Dilemn sonne toujours brillamment électro !»

Bazart Magazine – Juin 2011

«Il y en a qui excellent dans la torture de machines, capables de produire des sons à vous retourner le cervelas… Dilemn est de ceux là. Ce toulousain a déjà produit de nombreux EP’s, singles ou remixes pour WAT, Birdy Nam Nam ou Shadow Dancer. Sur cette ogive sonore, il se sert magistralement, tel un peintre, de toutes ses influences : rock, breakbeat, métal, classique et funk avec des sonorités issues des variantes de l’électro. Move yo feet, avec les featurings de Blake et de Wonderkat, est tout bonnement addictif et que dire de Don’t break it avec son triturage de samples annihilateurs. Marre de la soupe ? Alors Play !!!» Muchacho

Teckyo – Avril 2011

«Voici le premier album, très attendu de Dilemn Better Worlds, signé sur Boxon Records avec des featuring vocaux de Blake (Puppetmastaz), Mc Youthstar, Miss Trouble ou bien encore Smurfie Syco, dernier poulain du label de Dizee Rascal. A la première écoute, cet albume ne déçoit pas, au contraire!

Avec No More, il commence en douceur. Clapping sonne plus funky tout comme Better World

avec en featuring l’excellent Youthstar ! Dancefloor, ses compositions fusionnent avec l’électro, le funk ou hip hop. De bonne augure pour l’avenir !»

Nouvelle Vague – 15 Mars 2011

«Après de nombreuses collaborations et remix qui lui ont permis de perfectionner et mieux cerner son style musical, le jeune toulousain Dilemn sort son tout premier album. Evoluant dans le milieu électro underground depuis plus d’une décenne, l’artiste s’exprime à travers un son fondamentalement électro mêlant une touche de rock, de funk ou encore de hip-hop. Cette diversité des genres et son originalité lui assure une place grandissante et respectée dans la mouvance nu-french-touch. Les titres sont très éclectiques, passant d’un son psychédélique et lent à un son rythmé et urbain voire furturiste. Cependant l’alliance du hip-hop (qui paraît quelques fois suranné et nous rappelle celui des années 90) avec des sons hyper modernes ne fonctionne pas sur certains morceaux et l’alchimie ne prend pas tout le temps. Après avoir beaucoup travaillé sur les disques des autres, c’est à son tour que Dilemn fait appe à des artistes comme Kloé, Miss Trouble ou Youthstar pour des featurings, en résulte des titres comme l’excellent Better Wolrds qui semble être le plus aboutit de l’album qui d’ailleurs porte le même nom.»

Ohmyblog! – Mars 2011

«Les albums électro pleuvent en ce moment. Pourtant on sait que c’est un exercice particulièrement hasardeux dans le milieu, où nos artistes préfèrent sortir des titres au grès de leurs envies et sortir des Ep’s de manière plus ou moins régulière. Néanmoins on voit de plus en plus d’albums sortir et plus uniquement par les mastodontes du genre.

On connaît Dilemn depuis quelques années déjà, on aime ce qu’il fait sans vraiment attendre quelque chose de particulier de sa part. Alors comment va t’il nous convaincre avec ce premier album ?
Dilemn est en plein dans la mouvance électro actuelle. Il utilise tous les procédés qui fonctionnent : synthés saturés, samples funky, beats ravageurs… Dès l’intro de l’album nous voilà prévenu : No More annonce un album dans la continuité de ce qu’on connait de lui.

En effet tout au long de l’album on sent dès la première écoute une grande homogénéités dans les titres. Des ambiances à la fois dancefloor et très funky. Dilemn parvient à sortir un son unique en mélangeant à sa sauce les influences de l’électro actuelle. On retrouvera beaucoup de sonorités qu’on connait de lui. On peut regretter une certaine linéarité dans la diversité des morceaux et des ambiances proposées même si le style général est tout de même différent de ses anciennes productions. Cependant l’album reste du Dilemn, comme on l’aime. Assez étonné également de retrouver le remix qu’il avait réalisé par Dyebox il y a 2 ans de ça. Il est vrai que c’est un excellent morceau, mais pour son public, Catch The Look est déjà une référence de l’artiste ! Alors même si elle a été retravaillé à l’occasion (featuring avec Smurfie Syco le protégé de Dizee Rasca) elle aurait mérité à apparaître au titre de bonus uniquement même si elle s’intègre bien à l’ambiance.

Néanmoins Better Worlds, sans être une surprise est un excellent album. Il n’y a tout simplement pas de mauvais morceaux ! On ne sera pas surpris à head banger sur plusieurs titres tel que Better Worlds qui est simplement excellent ou encore Analog Power. Que serait un album électro aujourd’hui sans son titre Dubstep ? Plugged est là pour confirmer la règle.

Pour résumer, Better Worlds est un album bourré à craquer de riffs funky et saturés absolument géniaux. Situé pile poil entre son côté banger et funky, Dilemn nous fournit ici 13 morceaux de qualité.»